Des vestiges attestent de l’existence d’anciens établissements tels que la localité ibère découverte sur le Mont Catma.
Des cinq portes des remparts qui protégeaient le village, seule celle de l’extrême sud-est subsiste. Le tracé du centre-ville reflète la structure médiévale typique, avec ses arcades et passages. C’est le cas de la maison Bayle, au plan en forme de « L », traversée par une ruelle. L’édifice abrite la maison de la culture et son passage communique avec la place de la mairie, ainsi qu’avec une multitude d’arcades telles que celle sur laquelle repose l’ancien couvent, celle de la forge, ou encore l’arcade qui relie la rue Mayor à la rue du Pilar. C’est pour approfondir nos connaissances de cet aspect intéressant de la Ginebrosa qu’a été créé le centre d’interprétation d’urbanisme médiéval.
Les arcades de la place de la Mairie (ou « plaza Mayor ») accueillent des bâtiments remarquables tels que l’hôtel de ville. Celui-ci possède une halle, aux arcs brisés, et une partie supérieure dotée d’arcs en plein cintre et de balcons avec garde-corps.
Parmi les monuments de la Ginebrosa, l’église paroissiale de San Bartolomé (Saint-Barthélemy) se distingue. De la construction originelle ne subsistent que l’abside et la première travée de nefs. On remarque également des ouvrages d’architecture populaire tels que les lavoirs.
Nous ne pouvons manquer d’autres exemples d’intérêt, tels que la chapelle de Santa María Magdalena (Sainte-Marie-Madeleine), du XIXe siècle, située dans la partie de « Las Masadetas » où l’on organise la « fête des cerises ». Concernant l’architecture ethnologique, on remarque notamment son four à pain, les deux glacières figurant sur la « Route des voûtes du froid » et les vestiges de l’ancien barrage. Situé dans le lit de la rivière Guadalope, il fait partie de l’ensemble hydraulique commandé par l’infant Don Antonio Pascual de Borbón, fils de Charles III, à Juan de Villanueva, l’un des architectes les plus importants du XVIIe siècle. Sans oublier le pont de « Cananillas » restauré, qui est encadré par une nature d’une rare beauté.
Dans cette commune, nous allons trouver une glacière communale, point de passage de la Route des voûtes du froid. Celle-ci, orientée nord-ouest et située à proximité du centre-ville, est de plan circulaire et réalisée en maçonnerie avec du mortier.
Les vestiges datant de l’époque ibère (les fours à céramique d’El Olmo et Mas de Moreno, découverts près de la rive du Guadalopillo) sont particulièrement remarquables.
L’église paroissiale de San Juan Bautista (Saint-Jean-Baptiste), à l’élégance baroque et réalisée presque entièrement en maçonnerie, comprend trois nefs. Tandis que se dresse, intégrée à la façade même, la tour. La plaza Mayor, située au cœur du village, abrite l’hôtel de ville, avec la halle d’entrée typique et le grand auvent supérieur, ainsi que la chapelle de San Roque (Saint-Roch), surélevée sur des piliers en pierre de taille. Un autre des ouvrages des plus remarquables de Foz est son ancien four à poterie, qui témoigne de la longue tradition potière du village.
L’ancienne glacière ou puits de neige et le bassin en pierre sont conservés, de même que la chapelle de Santa Bárbara (Sainte-Barbe), bâtie au XIXe siècle sur le mont du Calvario (depuis lequel il est possible d’admirer l’étendue du village), ou encore la chapelle de Nuestra Señora de las Nieves, bâtie en 1979 pour remplacer l’ancienne chapelle recouverte par les eaux du barrage.
Enfin, il existe également d’intéressants témoignages du patrimoine naturel. C’est le cas des sites comme la Peña del Cucón ou la Val de la Piedra, où se dresse un incroyable petit chêne de 14 mètres de hauteur avec un houppier de 32 mètres.
L’église paroissiale de San Juan Bautista (Saint-Jean-Baptiste), à l’élégance baroque et réalisée presque entièrement en maçonnerie, comprend trois nefs. Tandis que se dresse, intégrée à la façade même, latour. La plaza Mayor, située au cœur du village, abrite l’hôtel de ville, avec la halle d’entrée typique et le grand auvent supérieur, ainsi que la chapelle de San Roque (Saint-Roch), surélevée sur des piliers en pierre de taille. Un autre des ouvrages des plus remarquables de Foz est sonancien four à poterie, qui témoigne de la longue tradition potière du village.
L’ancienne glacière ou puits de neige et le bassin en pierre sont conservés, de même que lachapelle de Santa Bárbara (Sainte-Barbe), bâtie au XIXe siècle sur le mont du Calvario (depuis lequel il est possible d’admirer l’étendue du village), ou encore la chapelle de Nuestra Señora de las Nieves, bâtie en 1979 pour remplacer l’ancienne chapelle recouverte par les eaux du barrage.
Enfin, il existe également d’intéressants témoignages du patrimoine naturel. C’est le cas des sites comme la Peña del Cucón ou la Val de la Piedra, où se dresse un incroyable petit chêne de 14 mètres de hauteur avec un houppier de 32 mètres.
Bienvenue à Aguaviva, commune située dans la cuvette de Mas de las Matas. C’est probablement aux eaux des rivières Guadalope et Bergantes, qui s’écoulent sur ses terres, que le village doit son nom. En parcourant ses rues, nous tombons très vite sur sa belle plaza de España, entourée d’arcades et sur deux niveaux, unis par un perron.
En poursuivant notre exploration, nous pourrons observer d’autres exemples d’architecture civile, tels que les hôtels particuliers Renaissance que l’on retrouve en divers points de son centre-ville ; parmi ceux-ci, la « Casa Mir », située rue Larga, sort du lot. On ne peut manquer l’église paroissiale, magnifique église baroque consacrée à saint Laurent, qui se dresse sur la plaza Mayor. Le patrimoine ecclésiastique d’Aguaviva ne serait complet sans ses deux chapelles baroques, situées aux abords du village, qui datent du XVIIe siècle et sont placées sous le patronage de saint Grégoire et sainte Barbe.
L’ancien moulin à farine, la glacière, le pont de Cananillas et l’ensemble formé par la fontaine et le lavoir.
Le premier établissement humain dont on a retrouvé la trace est la localité ibère du Cabezo de la Guardia, classée bien d’intérêt culturel en 2001.
En 1591, le roi Philippe III a attribué à Alcorisa le titre de « Bourg ». Aujourd’hui, cet événement est commémoré par les habitants du village avec l’organisation de ce que l’on appelle la Fête du Bourg d’Alcorisa : une reconstitution historique exceptionnelle, à caractère biennal, qui ramène la commune au Siècle d’or espagnol.
Le sentier du Mont Calvario permet de découvrir un cadre naturel de toute beauté, recouvert de végétation et de pins, à mesure que nous avançons sur le chemin pavé qui forme le chemin de croix tracé au XVIe siècle. Tout près du sommet, nous trouverons la chapelle du Santo Sepulcro (Saint-Sépulcre). Une fois en haut, et laissant de côté la chapelle de San Juan (Saint-Jean) du XVIIe siècle, nous nous dirigerons vers le point de vue naturel que constitue le rocher San Juan.
Le Mont Calvario est, par ailleurs, la scène naturelle où se joue « El Drama de la Cruz » (« le drame de la croix ») le jour du Vendredi saint.
Lorsqu’on redescend, il est possible d’apprécier la beauté de l’église Santa María La Mayor (Sainte-Marie-Majeure), de sa façade baroque et du beffroi (XVIIIe siècle) d’inspiration mudéjare (bien d’intérêt culturel).
Après avoir visité l’ensemble formé par la rafraîchissante « fontaine aux trois jets » (XVIIIe siècle) et les lavoirs, la Plaza de los Arcos mérite le coup d’œil.
Nous terminerons la visite du centre-ville par l’église de San Sebastián (Saint-Sébastien), du XVIIIe siècle, qui accueille aujourd’hui le centre d’interprétation de la Semaine sainte, le musée de l’école rurale et le centre des visiteurs de la Route des Ibères.
Les vestiges les plus anciens découverts remontent au Néolithique, vers 3000 av. J.-C., et on a retracé l’existence d’une localité ibère d’importance sur le sommet de Santa Bárbara.
Son centre-ville recèle d’intéressants exemples d’architecture. Parmi eux, on trouve notamment l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora (l’Assomption de la Vierge). Son aspect relève essentiellement du style baroque, avec les colonnes salomoniques de son porche, ses voûtes en berceau brisé à lunettes et son grand beffroi. À côté de l’église se trouve le bâtiment Renaissance qui abrite l’hôtel de ville (1576-1579), en pierre de taille, avec son entrée dotée d’un arc en plein cintre et sa galerie à voûtains typique d’Aragon, qui s’étend sous un auvent en bois en porte à faux.
Il y a différentes chapelles, telles que celle consacrée à Nuestra Señora del Loreto, restaurée en 1940 après les dégâts de la guerre civile, et qui abrite un baldaquin monumental et une somptueuse coupole sur pendentifs. Il est possible de visiter deux autres chapelles dans la commune de la Codoñera : celle du Calvario (Calvaire) ou Santo Sepulcro (Saint-Sépulcre) et celle de Santa Bárbara (Sainte-Barbe), située sur le sommet du même nom, et qui constitue un point de vue imprenable.
Enfin, nous ne pouvons passer à côté des autres témoignages d’architecture ethnologique que sont le trinquet, l’ancienne briqueterie, la glacière, le lavoir restauré, les ruines du moulin à huile, et, dans le canyon Fondo, le moulin Molí Siscar, consacré à la production de farine.
Les rues et recoins de Jaganta nous invitent à marcher lentement et à nous imprégner de la quiétude qui émane de ses murs. Des murs qui transpirent l’histoire du village et de ses habitants. Parmi les bâtiments les plus importants, on trouve son ancien moulin à huile et l’église de San Felipe y Santiago (Saint-Philippe et Saint-Jacques).
Le moulin à huile de Jaganta, bâti au XVIIe siècle et restauré en 1995, est encore en parfait état et illustre à la perfection le procédé préindustriel de la mouture de l’olive, à l’origine de l’huile d’olive du Bas-Aragon si prisée.
Le moulin à huile conserve le mécanisme traditionnel. La meule de pierre avec laquelle on pilait les olives était à traction animale : une bête de somme tournait pour actionner le mécanisme et obtenir la pâte d’olives, qui passait au grand pressoir, doté d’une énorme poutre composée de six madriers liés entre eux par des pièces métalliques. Celle-ci servait de grand levier, actionné par un contrepoids ou une énorme pierre d’environ 3 000 kilos. Une fois la pâte d’olives pressée, on versait de l’eau chaude au pied de la presse, de façon à ce que l’huile s’écoule facilement dans les rigoles jusqu’aux vasques, où les deux liquides étaient alors séparés par décantation.
L’autre édifice important de Jaganta est son église, consacrée à saint Philippe et saint Jacques. Bâtie au XVIIIe siècle dans un style baroque, son porche porte la date 1742.
Enfin, votre regard s’arrêtera sur la halle aux deux arcades qui se dresse près de l’église, construite en 1866, ou la fontaine Fuente de los cipreses.
La chapelle de San Pedro Mártir (Saint-Pierre-Martyr), dont le cadre est embelli par les cyprès, est crépie et peinte en blanc. Construite en 1795, de style baroque, elle présente un plan centré et un porche ou portique d’entrée, caractérisé par un arc surbaissé.
Bienvenue à Alcañiz, capitale du Bas-Aragon, située dans le méandre tracé par la rivière Guadalope pour « encercler » la colline de Pui-Pinos.
Véritable témoignage des premiers établissements, les peintures rupestres de Val del Charco del Agua Amarga ont été classées patrimoine de l’humanité par l’UNESCO. Par ailleurs, différentes localités ibères ont été identifiées : El Palao, el Taratrato et la nécropole de El Cascarujo. Elles figurent toutes sur la « Route des Ibères ».
La commune compte plusieurs points d’intérêt, et notamment le château Calatravo, le grand beffroi de l’église de Santa María la Mayor (Sainte-Marie-Majeure) (du XIVe siècle) ou la halle du XVe siècle. De même que les passages souterrains du Moyen Âge, la cave et la glacière, dont l’accès pour la visite se fait par l’office de tourisme, sans oublier le moulin Mayor.
À la Renaissance sont érigés le majestueux hôtel de ville et l’église de Santo Domingo (Saint-Domingue). C’est également à cette époque que sont bâtis de nombreux hôtels particuliers tels que la Casa Maynar, siège de la région, ou la Casa Ardid, qui accueille actuellement la bibliothèque et les archives.
De style baroque, l’église de Santa María la Mayor (Sainte-Marie-Majeure) et la chapelle de la Vierge de Pueyos se distinguent. De même que, outre les églises du Carmen, celles de San Francisco ou Escolapios. C’est dans la ligne de ce mouvement qu’a été érigé, dans la partie sud du château, le palais des commandeurs, aujourd’hui converti en « Parador de Turismo » (l’équivalent des « Relais et châteaux » français).
La période de la Restauration et le passage au XXe siècle ont laissé des témoignages de ces années de gloire : les splendides maisons modernistes de la promenade Andrade et la casa Taboada, le théâtre, le marché ou encore la fameuse fontaine aux 72 cannelles du parc de la Glorieta.
Le XXe siècle voit la ville s’étendre, avec une seule interruption lors de la guerre civile. Un développement qui aboutit, dans les années 50, à l’apparition des villages de colons de Valmuel et Puigmoreno.
Le tracé urbain de Belmonte nous transporte à l’époque romaine et ses rues, parsemées de porches de son ancienne enceinte fortifiée datant du XVIIIe siècle, dissimulent de beaux recoins, à l’image du porche de Soldevilla qui conserve sa construction originelle.
On remarque en particulier son église paroissiale, qui possède un majestueux beffroi et un magnifique porche. À l’intérieur trône le superbe orgue. Nos pas nous conduisent ensuite au centre civil du village : l’hôtel de ville, construit au XVIe siècle. Sa halle, aux arcs en plein cintre, nous accueille et abrite, plongée dans l’obscurité, l’ancienne prison. La commune compte également parmi ses points d’intérêt : un ancien four communal fait de grands arcs, les hôtels particuliers des Bosque et la plaza Solá (aujourd’hui appelée « plaza del Pilar »), la Casa Membrado, la magnifique glacière de los Calatravos, le moulin à huile de La Pedrera ou encore les ruines de l’ancienne briqueterie.
Enfin, nous pouvons visiter la « Casa Redonda », la « Torreta de los Cándidos », les nombreuses chapelles et en particulier celle de San José (Saint-Joseph) ou l’ensemble formé autour du Calvario, ou encore les somptueux paysages du Mezquín ou du canyon Fondo.
Le meilleur moyen de partir à la découverte des rues et des habitants de la Cerollera est de commencer par la plaza de la Constitución, où se trouvent les bâtiments les plus emblématiques du village : son église paroissiale de Nuestra Señora de los Remedios (Notre-Dame-des-Remèdes), splendide église baroque, et l’hôtel de ville dont la façade se compose de deux grandes arcades en plein cintre, en guise de halle, qui abritent l’entrée et l’ancienne prison, aujourd’hui légèrement rénovée.
Ses rues recèlent de magnifiques illustrations de l’architecture populaire et de beaux recoins, où il reste des murs badigeonnés d’indigo. La rue Rafec abrite d’intéressants bâtiments qui racontent la vie et l’histoire de la commune. Au numéro 12 se trouve la splendide « maison-palais » du marquis de Santa Coloma, réalisée au XVIe siècle et qui s’inscrit dans la ligne de style des demeures nobles de l’époque. Érigée en pierre de taille, avec une entrée dotée d’un arc à voussoirs, elle présente une galerie à voûtains typique d’Aragon, couronnée d’un auvent en bois en porte à faux avec une double rangée de modillons.
La rue Bajada de la Plaza compte d’autres bâtiments présentant un grand intérêt tels que « Casa del Mas de la Parra », « Casa Peris » et « Casa Marcelino ». À noter également : le « Horno Nuevo » (« Nouveau four »), restauré et situé au n° 7 de la rue Horno, qui sert de bâtiment à usages multiples, ou la « Casa Borrás », située rue Mesón.
Dans la rue Llana, nous tombons sur la maison Pallarés, située au numéro 6. Il s’agit d’une construction réalisée au XVIIe siècle, avec une noble pierre de taille, et surmontée d’un magnifique auvent. Elle conserve le balcon filant le plus long de la région.
Enfin, hors du village, sur une colline voisine, on trouve la chapelle de San Cristobal (Saint-Christophe), qui date du XVIe siècle. Et à proximité de Mas de Caubet, les ruines d’une ancienne glacière de montagne.
Le « Centro de Interpretación de la Guerrilla » (« centre d’interprétation de la guerilla ») est un magnifique espace riche d’informations, qui peut s’accompagner d’une visite du camp guérrillero. Cliquez ICI pour obtenir plus d’informations et consulter les horaires.
Voir le programme Petits mais pas invisibles d’Aragón Tv, consacré à La Cañada de Verich, en cliquant .
Sur son territoire communal se trouvent des mines dédiées à l’extraction d’argile réfractaire, destinée à la fabrication d’éléments utilisés dans la construction et la décoration. L’activité minière a débuté au début du XXe siècle avec des extractions sous terre. 4 mines sont encore opérationnelles actuellement.
Dans son centre historique, nous découvrons sa place principale: la plaza de la Iglesia. Construite sur deux niveaux, on y trouve les bâtiments principaux de la Cañada de Verich: son église paroissiale et de nobles constructions qui comprennent, entre autres, le palais qui abrite la mairie du village.
L’église paroissiale est consacrée à saint Blaise. Aujourd’hui, nous pouvons admirer cette belle construction en parfait accord avec les églises gothiques de la zone du Matarraña.
La Mairie se trouve dans le sobre et majestueux palais Calatravo, lié plus tard à la confrérie de saint Blaise. Il s’agit d’un bâtiment sur trois niveaux, réalisé en maçonnerie et pierre de taille. Son porche présente un arc en plein cintre et un blason orne sa clef de voûte.
Près de la route se trouve la chapelle du Pilar, construction baroque datant du XVIIIe siècle, de plan centré et surmontée d’une coupole. Les autres lieux de visite incontournables du village comprennent : l’ancienne glacière, la fontaine du Regall, l’ensemble hydraulique de la plaza de la Fuente avec les sources en amont et en aval (cette dernière avec son lavoir restauré), l’ancien four à pain, les norias d’irrigation qui parsèment la plaine du village et le moulin à huile. Ce dernier accueille actuellement un musée très intéressant visant à expliquer le processus d’élaboration de l’huile d’olive
La Cañada de Verich est l’un des 10 villages de la région du Bas-Aragon qui font partie du Parc culturel du Maestrazgo et du géoparc. Dans cette commune, il existe un site archéologique qui comprend différents restes fossiles d’invertébrés marins (ammonites, bélemnites, brachiopodes, etc.) datant de la période jurassique.